Villeneuve lès Maguelone

Non à la campagne de désinformation

Chers lecteurs,

depuis que notre nouvelle équipe est aux affaires, nous subissons campagne  de désinformation sur campagne de désinformation par une opposition qui a créé plusieurs associations et  dont les membres sont les mêmes. Ils agitent notre ville à des fins revanchardes et véhiculent rumeurs et fausses informations. Voltaire a dit : « Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose »...

Il convient donc que je rétablisse quelques vérités :

1/ les projets de logements sont une nécessité. Cliquez ici pour les explications.

2/ Le SCOT qui autorise l’urbanisation de tous les secteurs de Villeneuve  a été voulu et voté par ceux-là même qui aujourd’hui voudraient  interdire la création de  logements, ceci uniquement à des fins de politique politicienne. Les documents officiels attestent mes propos.

3/ « Café des Fleurs » : depuis une dizaine d'années, cet ancien café dans lequel nos parents et nos grands-parents ont dansé, au son des flonflons et de l'accordéon, était à l'abandon. Les squatters, des rats et des déchets avaient envahis l'établissement. Nous ne pouvions laisser  cette verrue en cœur de ville. Notre volonté de mettre fin à cette situation a contribué à une vente rapide de ce lieu historique. Cette même volonté de voir un projet agréable pour le cœur de ville nous a amené à l'inscrire dans le PLU. S’il n’y avait eu le PLU, il aurait alors été possible d’y construire n’importe quoi, des appartements en nombre important, comme sur le bd des chasselas par exemple.

4/Il parait que nous aurions refusé de prêter une salle communale à un groupe de personnes qui souhaitait faire un Loto… Sachez que le soir du loto des ces gens-là, dans la salle qu’ils briguaient, se déroulait les voeux du Maire au personnel municipal…

Rassurez vous, je préfère m'occuper de la ville plutôt que de polémiquer, je ne vais pas m'étaler sur tout les racontars, rumeurs, et autre sophisme dont certains ont le secret ! Même si quelques fois c'est un peu énervant, à croire qu'ils ne vivent et ne font que ça, chacun ses priorités! La mienne, c'est vous.  Je reste droit dans mes bottes. Patrick